Catégorie : Stress

Maîtriser l’art du sommeil : dormir mieux pour vivre mieux

Nous consacrons environ un tiers de notre vie au sommeil, mais sa véritable valeur est souvent sous-estimée. Dans un monde où le stress et l’agitation sont monnaie courante, comprendre et optimiser notre sommeil est devenu crucial. Cet article explore l’importance vitale du sommeil, ses effets sur la santé et propose des pistes concrètes pour l’améliorer.

L’importance cruciale du sommeil

Le sommeil n’est pas un luxe, mais une nécessité physiologique. Il joue un rôle central dans la régénération physique et mentale. Pendant que nous dormons, notre corps et notre esprit se réparent, se restaurent et se fortifient.

Le sommeil met tous nos systèmes au repos (système cardiovasculaire, respiratoire, hormonaux, métabolique, etc.). Cela nous permet d’être d’attaque pour notre journée et de rester en bonne santé. La nuit, nos tissus se réparent et notre peau se régénère.

Les enfants et les adolescents quand à eux, grandissent, car c’est la nuit qu’est sécrétée l’hormone de croissance.

Un manque de sommeil peut avoir des conséquences sévères sur la santé. Il augmente le risque d’obésité, de diabète, les maladies cardiovasculaires et les troubles mentaux comme l’anxiété ou la dépression.

L’insomnie

L’insomnie est le trouble du sommeil le plus courant.

1 français sur 5 souffre d’insomnie

Elle se manifeste par des difficultés à s’endormir ou à maintenir le sommeil.

L’insomnie est dite chronique lorsqu’elle se manifeste au moins 3 fois par semaine depuis au moins 3 mois.

Lorsqu’il persiste, ce trouble impacte notre qualité de vie et nécessite une intervention médicale ou des ajustements de mode de vie.

Les effets du sommeil sur la santé mentale

Le sommeil joue un rôle clé également pour notre santé mentale. Une privation chronique de sommeil est fortement liée à des problèmes tels que le stress, l’anxiété et la dépression. Notre sommeil est clé pour nous aider à réguler nos émotions, renforcer notre résilience psychologique et améliorer notre concentration et notre productivité.

Solutions concrètes pour mieux dormir

Examinons ensemble des solutions pour améliorer notre sommeil :

La lumière a un effet sur notre horloge biologique : tablettes, ordinateurs et téléphones portables utilisés en soirée retardent l’endormissement. Il faut se déconnecter 1h à 2h avant de se coucher.

La température corporelle : tout ce qui augmente notre température corporelle le soir peut avoir des conséquences sur notre endormissement et le maintien de notre sommeil. Ainsi, les activités sportives après 19h, un bain trop chaud, ou encore un repas copieux le soir peuvent avoir des conséquences sur notre endormissement.

Pour découvrir 8 autres solutions concrètes pour récupérer un sommeil de qualité, inscrivez-vous gratuitement dès maintenant à la formation : Les clés du sommeil.

Cette formation gratuite sera l’opportunité d’approfondir votre connaissance sur le sommeil : son rôle, son fonctionnement, ses troubles, prévenir et gérer la fatigue, 10 clés pour un sommeil de qualité..

Une véritable une mine d’or d’informations pour votre sommeil.

À travers des conseils pratiques et une compréhension approfondie des mécanismes du sommeil, cette formation offerte vise à transformer vos nuits et, par extension, votre qualité de vie.

Mon souhait est de vous aider à récupérer un sommeil de qualité et dormir enfin comme un bébé !

Enfin, rappelez-vous que le sommeil est un pilier fondamental de votre santé et de votre bien-être. Les clés du sommeil est une opportunité d’apprendre à maîtriser cet aspect vital de votre vie.

J’accède à la formation gratuite

Belle journée.

By Adaptis CoachingBurn out, Joie, QVT, Stress14/03/202414/03/2024

Comment éviter les propos toxiques au travail et améliorer la communication ?

La communication interpersonnelle est essentielle dans la vie d’une entreprise. Elle peut être à l’origine de relations professionnelles harmonieuses mais aussi de conflits destructeurs. Il est donc crucial de prendre conscience de l’impact de nos paroles sur les autres et de veiller à éviter les propos toxiques ou blessants au travail. Dans cet article, nous allons aborder les conséquences négatives des propos toxiques et partager des solutions pour améliorer la communication et favoriser un climat bienveillant.

Quels sont les mots toxiques ?

Pour certaines personnes en entreprise (ou ailleurs..), les propos toxiques peuvent prendre la forme d’une critique destructive, de sarcasme ou encore d’intimidation.

Mais pour d’autres, ils peuvent aussi prendre la forme d’une plaisanterie ou d’une simple phrase quelle qu’elle soit.

Une participante à l’une de mes formations sur la communication non violente me partageait récemment qu’une courte phrase prononcée sans y prêter beaucoup d’attention avait déclenché une avalanche de reproches par son interlocuteur.

Elle avait juste demandé “il faudrait vraiment terminer le dossier tartempion, c’est urgent”. La personne à qui la phrase était adressée avait perçu un reproche et une mise en accusation qu’elle n’avait pas supportée et généré beaucoup de colère chez elle.

Les mots peuvent donc être toxiques selon le fond qu’ils véhiculent… mais aussi selon l’interprétation qu’en fait le destinataire.

A votre avis, que pouvons-nous maîtriser entre nos propos et l’interprétation qu’en fait notre interlocuteur ? 😉

Par ailleurs, il est important de se rappeler que la communication n’est pas qu’une question de ce que l’on dit, mais aussi de comment on le dit. Il est donc également très important, au-delà des mots choisis avec soin, d’utiliser un ton respectueux et un non verbal adapté à notre intention.

Pour illustrer le poids du non verbal, j’adore cette scène culte du film Itinéraire d’un enfant gâté dans laquelle Jean-Paul Belmondo demande à Richard Anconina de ne pas être étonné.

Enfin, l’absence de mots ou d’écoute peut bien sûr être tout aussi toxique que certains mots.

Les conséquences des paroles toxiques

Voici un petit florilège (non exhaustif !) de l’effet des mots toxiques.

Une personne qui n’est pas écoutée ou comprise peut ressentir de l’isolement, une perte de sens, de l’ennui.

Celles qui ne sont pas en mesure de communiquer efficacement peuvent être frustrées et déconnectées de leur travail.

Une personne qui est victime de critiques peut ressentir de l’anxiété, de la colère, de la déprime.

A noter également, pour toutes, une baisse possible de la motivation et de la satisfaction au travail.

Pire encore, les propos toxiques peuvent aussi conduire à du harcèlement. Un véritable fléau pour lequel l’auteur des faits (lorsqu’ils sont avérés !) et l’employeur sont passibles de sanctions civile et pénale.

Enfin, la communication prend une part importante dans les risques psychosociaux (RPS). Stress, épuisement professionnel, isolement social, pression excessive et manque de soutien sont facteurs de RPS, c’est à dire des problèmes de santé mentale. Ces risques sont une préoccupation majeur pour les employeurs et provoquent des absences, une baisse de la productivité et un taux de rotation élevé.

Rappelons que le coût social des RPS pour la France est évalué entre 1,9 et 3 milliards d’euros.

Comment éviter les propos toxiques au travail ?

Heureusement, il existe des moyens pour éviter les propos toxiques et améliorer la communication interpersonnelle en milieu professionnel. Bonne nouvelle : ça marchera aussi pour vos relations personnelles. 🎉

La première solution est de promouvoir une culture de respect et de confiance. Cela passe par des formations sur la communication efficace et la gestion des conflits, ainsi que par l’écoute active et l’empathie. En favorisant la communication ouverte et constructive, chacun se sentira plus à l’aise pour partager ses opinions et ses préoccupations sans crainte d’être jugés ou ridiculisés.

Une autre solution pour éviter les propos toxiques est de prendre le temps de réfléchir avant de parler. Il est facile et tentant de s’exprimer sous le coup de l’émotion, de succomber à la colère ou à la frustration, mais cela peut mener à des paroles bien regrettables.

Au lieu de cela, prendre quelques instants pour respirer profondément ou encore réfléchir à ce que l’on veut dire peut aider à éviter les propos toxiques et blessants.

Le rôle des employeurs sera de mettre en place des stratégies pour améliorer la communication interpersonnelle au sein de leur entreprise avec :

des formations dédiées,
des canaux de communication ouverts et transparents,
des programmes de soutien ou de médiation pour aider à résoudre les conflits avant qu’ils ne deviennent des problèmes majeurs.

Pour conclure, je dirais que la communication interpersonnelle peut être à la fois un atout précieux et un risque pour tous. Elle est l’affaire de tous et chacun peut s’y former pour s’entraîner à mieux communiquer sereinement et œuvrer au bien-être de tous.

Et vous qu’est ce qui vous freine aujourd’hui d’avoir une communication sereine avec vos proches au travail ou en famille ?

Si aujourd’hui, vous souhaitez développer une communication bienveillante avec votre entourage et créer des relations plus saines et paisibles, découvrez vite ma nouvelle formation en ligne.

Je veux découvrir la formation

Belle journée.

By Adaptis CoachingCommunication, Harcèlement, QVT, Stress03/03/202329/01/2024

Stress et communication, un cocktail explosif au creux de l’hiver

Au creux de l’hiver, comment évoluent nos relations au travail ou en famille ? Stress et communication font parfois mauvais ménage et représentent un cocktail explosif pouvant entraîner 3 conséquences graves.

L’hiver peut être une période difficile pour gérer ses relations au travail ou en famille. Les journées plus courtes, les températures plus froides et la fatigue accumulée peuvent nous rendre plus irritables et sensibles aux conflits.

Dans ces conditions, il est facile de laisser notre communication se détériorer et de nous retrouver dans des situations tendues, voire conflictuelles.

Les 3 conséquences du cocktail explosif entre stress et communication en hiver

Les conséquences d’une mauvaise communication peuvent être importantes et affecter négativement nos relations et notre environnement de travail.

En voici 3 principales :

Perte de confiance : lorsque la communication se détériore en raison du stress, la confiance entre les collègues, les clients ou les partenaires peut être perdue ou fortement détériorée. Les malentendus et les interprétations erronées peuvent conduire à une perception négative de l’autre personne, créant une barrière qui peut être difficile à surmonter.
Erreurs coûteuses : une communication médiocre peut aussi entraîner des erreurs coûteuses. Par exemple, si des instructions mal expliquées ou mal comprises sont suivies, des erreurs peuvent être commises, entraînant des coûts supplémentaires pour l’entreprise. La qualité du travail pourrait être affectée et entraîner une baisse de la satisfaction du client ou des partenaires.
Stress et épuisement professionnel : une mauvaise communication peut enfin conduire à un stress accru et à un épuisement professionnel. En effet, les interactions négatives et désagréables engendrent un stress supplémentaire et épuisent les ressources émotionnelles et mentales de la personne concernée. Sa capacité à faire face à de nouvelles demandes pourrait s’en trouver diminuée et la conduire à des problèmes de santé mentale à plus long terme. Le stress engendre également un coût important pour les entreprises.

Stress et relations aux autres

Dans un contexte familial ou amicale, une mauvaise communication peut également entraîner des malentendus, des conflits et des relations tendues. Les conflits non résolus peuvent aussi affecter les relations à long terme, voire entraîner une rupture des liens familiaux.

Une étincelle peut parfois entraîner une escalade comme dans cette scène culte :

La communication est l’affaire de tous.

Prenons soin de nous et de notre communication pour mieux prendre soin de ceux qui nous entourent.

Alors, si vous avez la chance d’avoir des vacances pendant ce mois de février, GO ! opération décompression et respiration pour retrouver une communication plus calme. Vos proches vous en remercieront.

Et vous qu’est ce qui vous freine aujourd’hui d’avoir une communication sereine avec vos proches ?

Envie d’une solution : regardez par ici.

Je vous souhaite une belle journée.

By Adaptis CoachingQVT, Stress17/02/202329/01/2024

Retrouver son calme en moins de 5 mn

Comment retrouver son calme en moins de 5 mn ? Votre respiration peut vous permettre d’avoir à nouveau les idées claires. Découvrez maintenant la cohérence cardiaque.

Lorsque vous êtes stressé(e) et que les battements de votre cœur s’emballent, ce n’est pas toujours simple de revenir à un rythme normal et d’avoir à nouveau les idées claires.

Dans cette vidéo, je vais vous partager une pratique que j’utilise et que je trouve très efficace : la cohérence cardiaque.

Le fonctionnement de la respiration

Notre respiration a une position très particulière d’un point de vue physiologique.

Elle est contrôlée par 2 systèmes.

Un système inconscient, puisque vous respirez sans y faire attention, sans vous dire le matin, tiens aujourd’hui, il faut que je pense à respirer.

ET un système conscient, car vous pouvez décider de respirer volontairement.

Autrement dis, vous pouvez décider d’accélérer ou de ralentir votre respiration.

La puissance de la respiration

Si on compare le système inconscient au fonctionnement d’un véhicule, c’est comme si vous aviez une pédale de frein et une pédale d’accélérateur.

A l’inspiration, vous appuyez sur la pédale d’accélération : le système nerveux sympathique est sollicité et votre fréquence cardiaque va augmenter.

A l’expiration, vous appuyez sur la pédale de frein : c’est le système nerveux parasympathique qui est activé et votre fréquence cardiaque va diminuer.

Avez-vous repéré que les battements de votre cœur sont le reflet de votre état émotionnel ?

Lorsque vous êtes excité(e), de joie ou de peur, les battements de votre cœur s’accélèrent.

A l’inverse, lorsque vous êtes relaxé(e), votre cœur se ralentit.

Selon l’émotion que vous ressentez, la fréquence et l’amplitude de vos battements ne sont pas les mêmes.

Les effets du stress

En situation de stress, votre respiration est perturbée : elle devient rapide et superficielle, vous pouvez même avoir l’impression du “souffle coupé” , il est donc très utile de réapprendre à bien respirer.

Si vous avez besoin de vous calmer, vos temps d’expiration doivent être plus longs que vos temps d’inspiration.

Parfois quelques minutes suffisent.

La cohérence cardiaque pour tous !

Synchroniser ses rythmes cardiaques et respiratoires, ça s’appelle faire de la cohérence cardiaque et c’est recommandé par la fédération française de cardiologie.

Pour cela, découvrez vite respirelax, une application gratuite que j’utilise et que j’apprécie beaucoup.

Idéalement, la cohérence cardiaque doit se pratiquer 3 fois par jour pendant 5 mn. Vous en ressentirez les bienfaits dans votre corps pendant les heures qui suivront.

Mais si vous ne pouvez faire que 5 mn, c’est déjà un très bon début. Vous pouvez vous en féliciter.

Maintenant, si vous avez envie d’autres solutions pour retrouver de la sérénité, parlons-en ensemble lors d’une séance gratuite.

By Adaptis CoachingCommunication, Joie, QVT, Stress03/06/202229/01/2024

La cause du stress

Vous avez peut-être l’impression d’être stressé en permanence, pour un oui ou pour un non. Dans cette vidéo je vais vous expliquer la cause du stress. Ce qui se passe dans votre cerveau et que faire pour déstresser.

Pourquoi stressez-vous ?

Charge mentale, peur du changement, conditions sanitaires, votre conjoint, votre famille, votre job, peur de vous tromper, etc. etc. Vous avez toujours une bonne raison de stresser.

Mais savez-vous réellement pourquoi vous stressez ?

Allons regarder ce qui se passe dans votre cerveau.

Votre cerveau représente 2 % de votre poids total et consomme 20 % de l’oxygène utilisé.

Tous les jours, votre cerveau prend des milliers de décisions dont la plupart sont inconscientes..

Ces décisions sont prises en fonction de 2 modes bien différents.

Le mode automatique

Quand vous êtes confronté à une situation simple et connue, c’est le mode mental automatique de votre cerveau qui prend la main.

C’est un mode qui fonctionne de manière extrêmement rapide et efficace dans ce genre de situation. Il aime la routine, il a tendance à fonctionner de manière binaire et tranché et à simplifier pour faciliter vos décisions : oui/non, vrai/faux, bon/mauvais, bien/mal. etc

Dans la vidéo je vous donne quelques exemples de situations concrètes.

Le mode adaptatif

Parfois, vous êtes confronté à une situation plus complexe, nouvelle, imprévue et dans ce cas, c’est le mode mental adaptatif de votre cerveau qui va prendre la main.

Ce mode adaptatif c’est votre capacité à mobiliser vos meilleures ressources pour vous adapter de manière pertinente à toutes ces situations complexe, nouvelle, imprévue, en toute sérénité.

Ce mode là sait faire tout ce que le mode mental automatique ne sait pas faire. Il est multitâche, multidimensionnel, c’est un véritable chef d’orchestre et un improvisateur. Il a des caractéristiques de fonctionnement en tout point opposées à celles du pilote automatique.

Prenons un exemple : un événement imprévu vient gêner le projet que vous avez l’habitude de gérer. Vous allez du coup peut-être réfléchir, seul ou avec d’autres personnes, pour trouver une solution adaptée au problème qui se pose.

Vous allez peut-être changer le calendrier du projet. Bref, vous allez vous adapter à la situation.

Mais la situation n’est pas toujours aussi simple et il peut y avoir un bug dans le système.

Parce que face à une situation complexe, nouvelle, imprévue, vous allez utiliser votre mode mental automatique, qui réagit très très vite… parfois trop vite, au lieu de votre mode mental adaptatif.

Votre cerveau va alors vous envoyer un signal de stress.

Votre stress vous indique que vous faites une erreur de raisonnement et que vous n’êtes pas entrain d’utiliser les meilleures capacités de votre cerveau.

Comment faire pour déstresser ?

Mauvaise nouvelle…. mais heureusement… c’est que nous sommes tous différents, mais ça vous le saviez depuis déjà bien longtemps.

Notre capacité à mobiliser notre mode adaptatif dans une situation complexe et impévue est très variable d’un individu à l’autre.

Mais bonne nouvelle, comme c’est le cas pour un muscle, nous pouvons tous développer et fortifier cette capacité.

Donc tout l’enjeu, de ce que l’on va appeler cette gestion des modes mentaux, c’est de :

savoir sur quel mode nous fonctionnons,
identifier les signaux d’alerte comme le stress,
apprendre à zapper, à basculer, rapidement et efficacement, pour retrouver de la sérénité.

D’apprendre à basculer du mode automatique vers le mode adaptatif, lorsque nous sommes confrontés à une situation complexe, nouvelle, imprévue.

Tout le monde peut le faire.

Tout le monde peut s’y entraîner et développer cette capacité.

Si vous avez envie de retrouver de la sérénité, parlons-en ensemble lors d’une séance gratuite.

By Adaptis CoachingQVT, Stress08/03/202229/01/2024

Sommet de la Joie : l’événement à ne pas manquer !

Un évènement à ne pas manquer : le Sommet de la Joie. 100% gratuit et en ligne du 31 mai au 6 juin 2021. 21 experts mondiaux se rassemblent pour parler de la joie, au profit de Café Joyeux.

Si tu as perdu ton énergie et ton plaisir au travail,

Si le télétravail commence à te peser,

Si tu as le moral dans les chaussettes,

Si tu as besoin de te reconnecter à ta joie intérieure

Ou simplement si tu as envie de passer un bon moment.

J’ai ce qu’il te faut !!!

1 bonne dose de Sommet de la Joie 3 à 4 fois par jour pendant 7 jours !

Je t’entends te demander ce qu’est le Sommet de la Joie…?..

Le sommet de la joie, c’est quoi ?

Et bien, c’est un magnifique événement qui se déroulera en ligne du 31 mai au 6 juin. Je lance les inscriptions cette semaine !

1er sommet de la joie totalement gratuit et en ligne, ce rendez-vous inédit rassemblera 21 experts mondiaux et sera accessible intégralement en replay.

7 jours d’union pour se (re)connecter à la joie avec 3 à 4 interventions par jour.

Nous parlerons d’outils concrets pour retrouver la joie et lever tes blocages, de pistes de réflexion et d’action pour ton travail… voire ton télétravail.

Nous parlerons d’optimisme, de connexion, de ton cerveau , de méditation, de rigologie et de stretching clownesque et bien d’autres choses encore !!

Tu te sentiras relié avec des milliers d’autres personnes de par le monde, qui aspirent comme toi à une vie joyeuse et pétillante.

Mais ce n’est pas tout, si tu souhaites profiter des conférences au-delà du 6 juin et les écouter à ton rythme, tu pourras acheter un pack dont les bénéfices seront reversés intégralement au profit des Cafés Joyeux, la première famille de cafés-restaurants solidaires qui emploient et forment des personnes en situation de handicap mental et cognitif comme par exemple des troubles autistiques ou trisomie 21.

Pourquoi ce sommet ?

Un matin de décembre, je démarrais mes cinq cents tâches devant être terminées avant le soir pour Adaptis Coaching, tout en gérant l’organisation familiale et mes 3 enfants.

En pleine pandémie, le masque était devenu ma nouvelle routine et presque chaque semaine amenait son lot d’incertitudes sur ce qui serait autorisé les jours suivants.

Je me suis dit que la vie n’était pas que ça, qu’il y avait plus… ou plutôt qu’une journée chargée pouvait aussi amener des moments de joie.

Comment avoir des bulles de joie qui éclairent les ombres de la vie quotidienne ?

Nous devons nous adapter, être résilients, mais pour moi, ce n’est pas suffisant pour être heureux.

D’où l’idée de joie. Je crois qu’éprouver de la joie peut découler d’un acte, d’une volonté, ce n’est pas juste accepter sa situation. De ce constat viscéral, d’un matin de décembre, j’ai décidé de le mettre en pratique pour moi et pour les autres.

J’ai décidé de créer un Sommet de la Joie !

Ce serait, un manifeste, que la joie est possible, en tout cas que certains s’efforcent de l’apporter à eux-mêmes, à leurs proches, aux autres, aux inconnus de la rue ou de l’univers digital.

J’ai envie de « faire ma part » (comme le colibri ? ) pour que chacun puisse vivre au mieux cette période.

J’ai voulu également offrir les bénéfices de ce Sommet à Café Joyeux, une magnifique aventure qui n’en est, je l’espère qu’à ses débuts !

Tenté (e) ?

Alors inscris-toi vite et rejoins-nous pour participer à cette explosion mondiale de joie !!

Je m’inscris gratuitement au Sommet !

By Adaptis CoachingJoie, Motivation, QVT, Stress06/05/202129/01/2024

Enchantez votre quotidien avec le carnet de gratitude

Avez-vous déjà pris le temps de regarder de plus près tout ce qui va bien pour vous ? De savourer toutes ces petites choses du quotidien que vous considérez comme acquises ? Enchantez votre quotidien avec le carnet de gratitude ! Je vais vous expliquer d’où ça vient, pourquoi en faire un et comment le faire.

Si je vous demandais de me faire la liste de tout ce qui ne tourne pas rond, de tout ce qui ne va pas pour vous en ce moment, la liste serait peut être longue.

Et si aujourd’hui nous mettions un coup de projecteur sur tout ce qui va bien ?

Non, non, je vous rassure, je ne vais pas glisser vers la méthode Coué en répétant en boucle “je vais bien, tout va bien”.

J’ai envie de vous parler ici de psychologie positive et plus particulièrement du carnet de gratitude.

La psychologie positive, c’est quoi ?

La psychologie positive a été fondée en 1998 par les Docteurs Martin Seligman (université de Pennsylvanie aux USA) et Christopher Peterson (université de Michigan).

Cette approche s’intéresse surtout à la santé et au bien-être, à ce qui rend les humains résilients, heureux, optimistes, plutôt qu’aux sources des psychopathologies.

L’hypothèse de Martin Seligman et Christopher Peterson est qu’en étudiant pourquoi et comment certaines personnes surmontent mieux que d’autres les difficultés de la vie, il sera possible de trouver des moyens de développer ces qualités chez chacun.

Pour savoir si la psychologie peut effectivement rendre les gens plus heureux, Martin Seligman a décomposé le “bonheur” en 3 éléments mesurables :

Tout d’abord, une vie agréable, une vie où vous ressentez autant d’émotions positives que possible (conditions de vie, loisirs, liens sociaux..) mais cette condition ne suffit pas à générer un sentiment de bonheur durable, il faut également…
Mais également une vie engagée: engagée dans votre travail, votre famille, votre amour, vos loisirs, et aussi…
Enfin, une vie pleine de sens, où vous identifiez vos points forts pour les mettre au service de quelque chose qui vous dépasse, vous transcende.

La psychologie positive invite à explorer comment mettre en œuvre ces 3 axes dans votre vie, et en particulier, avec l’exercice de la gratitude.

Quel est l’intérêt de la gratitude ?

Martin Seligman nous dit que « ceux qui cultivent la gratitude sont plus heureux que les autres ».

Elle entraîne une baisse de l’anxiété et de la dépression.

La gratitude change également notre cerveau. En effet, lorsque vos pensées passent du négatif au positif, votre production de dopamine (molécule du plaisir), de sérotonine (qui régule l’anxiété) et d’ocytocine (l’hormone de l’amour et du lien social) augmente.

Tous ces neurotransmetteurs contribuent aux sentiments de proximité, de connexion et de bonheur qui accompagnent la gratitude.

Les 3 « kifs » par jour du carnet de gratitude

Un exercice simple pour augmenter votre bien-être consiste à remplir un carnet de gratitude en y inscrivant tout ce que vous avez appréciez dans votre journée..

Cultiver le sentiment de gratitude peut vous paraître difficile, voire impossible en période de turbulences et d’épreuves.

L’idée n’est pas de se comparer à son voisin pour se rassurer soi-même.

Le principe de la gratitude est d’essayer de considérer comme des chances, des cadeaux, des privilèges, tout ce que vous considérez habituellement comme ordinaire et acquis.

Quelles sont toutes vos habitudes vécues en mode pilote automatique ?

Avoir un toit au-dessus de sa tête, faire un câlin à son enfant, faire des repas, avoir des amis… Et aussi : recevoir l’appel d’un ami, signer un contrat avec un client, faire une séance de sport…

« Notez trois choses qui se sont bien passées chaque jour et leurs causes chaque soir pendant une semaine. En outre, donnez une explication causale pour chaque bonne chose ».
Martin Seligman

Pourquoi réfléchir également aux causes de ses bonnes expériences ? Tout simplement pour s’immerger dedans et en ressentir les bienfaits encore plus.

Ces 3 choses n’ont pas besoin d’être incroyables, ni hors normes. Florence Servan-Schreiber nous parle elle de “3 kiffs par jour” et en fait un bel exercice pour animer les dîners familiaux.

Fixez-vous comme premier objectif de le faire pendant 1 semaine… appréciez les résultats et vous serez sûrement tenté de prolonger encore une semaine… puis une autre… puis une autre, petit à petit.

Tenté d’essayer ?

Alors, c’est parti, cette semaine, démarrez votre carnet de gratitude et notez tous les soirs 3 choses qui se sont bien passées dans votre journée et vous pourrez constater tout le bien que cela fait. Je vous souhaite une belle expérimentation.

Parlons-en ensemble

By Adaptis CoachingJoie, QVT, Stress05/03/202129/01/2024

Comment comprendre ce qui nous motive ?

Vous avez besoin de comprendre ce qui vous motive vraiment. De connaître le pourquoi de certaines de vos réactions. De gérer votre stress. Tout simplement, de faire un point sur vos modes de fonctionnement. Découvrez Profil’INC.

Le contexte économique actuel n’est pas simple… c’est le moins que l’on puisse dire !

Il est donc important d’être au clair sur vos modes de fonctionnement.

Qu’est ce qui vous motive vraiment… VOUS !

Oui, VOUS, pas votre voisin, ni votre collègue, mais VOUS.

Nous sommes tous différents ! (j’enfonce une porte ouverte mais il est bon de se le rappeler régulièrement ? ).

Pour faire évoluer votre projet professionnel ou retrouver de la joie dans ce que vous faites, il vous sera très utile de connaître vos sources de motivations inconditionnelles, durables qui vous procurent de l’énergie et du plaisir.

Vous les distinguerez de vos motivations plus conditionnelles sensibles à un résultat ou à une reconnaissance.

Pour vous aider à faire ce tri, découvrez Profil’INC :

Profil’INC, c’est quoi ?

Profil INC, c’est l’outil qu’il vous faut pour identifier et booster vos soft skills… ou celles de vos collaborateurs.

À la lumière de l’Approche Neurocognitive et Comportementale (ANC), profil’INC est le fruit de 30 années de recherche interdisciplinaire et d’expertise terrain, il explore les différentes facettes de la dynamique de fonctionnement d’une personne : comportementale, cognitive et émotionnelle.

Cet outil vous permet d’explorer ce qui vous pousse à agir, à décider mais également ce qui vous freine.

Il permet de faire le point sur vos modes de fonctionnement, de comprendre ce qui vous motive vraiment, de connaître le pourquoi de certaines de vos réactions et également de gérer votre stress.

Il s’adresse également aux professionnels des ressources humaines et du recrutement.

Les 3 dynamiques évaluées

Au travers d’une grille de lecture qui permet de comprendre les comportements humains, profil’INC permet d’évaluer 3 dynamiques :

1. Vos motivations,

celles qui sont inconditionnelles et durables, source de plaisir, d’énergie et de performance,
celles plus conditionnelles, sensibles au résultat et à la reconnaissance, potentiellement sources de démotivation face à l’absence de résultats,

2. Votre confiance en vous et en l’autre,

3. Votre capacité d’adaptation

C’est votre capacité à mobiliser vos meilleures ressources pour vous adapter sereinement aux changements et aux situations difficiles ou complexes.

Tester Profil’INC, c’est vous permettre d’être au clair sur vos modes de fonctionnement afin de faire les bons choix professionnels… et personnels.

Parlons-en ensemble

By Adaptis CoachingBurn out, Motivation, Stress23/02/202129/01/2024

Bien gérer ses relations selon son cycle menstruel

Certaines femmes ont peut-être déjà entendu : “T’es de mauvais poil, t’as tes règles ?!”. Est-ce aussi simple que cela ? Comment bien gérer nos relations selon son cycle menstruel, c’est la question que j’ai posée à Gaëlle Baldassari.

Dans cette interview, Gaëlle vous explique les différentes phases du cycle menstruel et comment en tenir compte.

Qui est Gaëlle Baldassari ?

Gaëlle se définit comme une hackeuse de cycle menstruel !

Pour que les femmes fassent alliance avec elles-mêmes.

Coach et formatrice au service du leadership et des femmes, elle est auteure du livre Kiffe ton Cycle, destiné à sensibiliser les femmes sur les changements qui s’opèrent à certains moments de leurs cycles pour mieux les vivre.

Elle a créé le mouvement Kiffe ton cycle.

Le cycle menstruel fait vivre aux femmes des fluctuations d’énergie et d’humeur, variables d’une personne à l’autre. Comprendre ces fluctuations et en tenir compte permet de vivre de manière plus harmonieuse avec soi-même et avec son entourage.

Les 4 phases du cycle menstruel

Le cycle menstruel fonctionne comme une session de surf. A l’arrivée des règles, la surfeuse, comme ses hormones sont posées sur la planche. Puis vient la montée d’énergie, c’est la prise d’élan. La surfeuse, elle, doit prendre suffisamment de vitesse pour être portée par la vague. Au pic des hormones, elle se sent portée et se met debout sur sa planche. Vient ensuite le tube de la vague. Ballotté entre la progestérone et l’œstradiol, la surfeuse vit des passages plus ambivalents. Enfin, tout s’apaise, les hormones chutent et elle se pose sur sa planche avant de repartir pour une nouvelle session.
Kiffe ton cycle !

Chaque femme va vivre environ 500 sessions de surf dans sa vie.

Soit elle peut “boire la tasse en silence tous les mois”, soit elle peut “apprendre à surfer”.

Les 3 conseils de Gaëlle pour bien gérer vos relations

1^er conseil : nouer une relation avec son cycle… de soi à soi-même

Savoir dans quelle phase du cycle vous vous trouvez.

Être à l’écoute de votre énergie et de votre ressenti.

2^ème conseil : méta communiquer

Autrement dit, exprimer ce qui ne va pas afin de désamorcer certains engrenages.

3^ème conseil : écrire ce qui ne vous convient pas

Cela vous évitera de l’exprimer d’une manière inadaptée aux autres.

Pour une femme, comprendre son cycle menstruel et comment surfer dessus est un outil essentiel pour avancer en prenant soin de soi. A l’inverse, nier ses modifications biologiques peut conduire à des malaises voire des burn out.

Pour les hommes, il est bien évidemment essentiel de l’avoir également en tête et de tenir compte des variations d’humeurs éventuelles.

Pour en savoir plus sur le cycle menstruel, je vous invite à consulter le livre : Kiffe ton Cycle.

Vous avez des relations tendues avec une ou plusieurs personnes, parlons-en.

Parlons-en ensemble

By Adaptis CoachingCommunication, Stress11/01/202129/01/2024

Comment réussir son burn out ?

Le « burn out » ou « syndrome d’épuisement professionnel » désigne un état “d’épuisement physique, émotionnel et mental qui résulte d’un investissement prolongé dans des situations de travail exigeantes sur le plan émotionnel.” Mais alors, comment être certain de bien « réussir » son burn out ? Quelles sont les astuces pour y arriver presque à coup sûr ? Comment le détecter ?

L’exemple de Paul

Regardons de plus près l’histoire de Paul.

Paul est cadre dans une grande entreprise internationale. Il aime son travail. Il est marié et a 2 enfants. Des week-ends bien remplis. Des amis et de la famille à proximité. Sur le papier, tout va bien. Le tableau idéal.

En fait, je dirais plutôt que Paul adoooore son travail. Il est très impliqué et consciencieux et se met constamment la pression pour être au top. Il aime donner le meilleur de lui-même.

Il prend tous les dossiers qui lui sont confiés car cela lui donne l’occasion de montrer à quel point il est performant et arrive à assumer une grosse charge de travail.

Quand il rentre chez lui, sitôt la dernière bouchée du dîner avalée, il embrasse ses deux têtes blondes et se remet au travail afin de terminer le dernier dossier qui lui a été confié. Quel plaisir quand il pourra le donner à son manager dès le lendemain, alors qu’il n’était attendu que dans une semaine. Il savoure d’avance son effet de surprise.

Minuit, le dossier est terminé, il file au lit et avant de s’endormir traite les derniers mails reçus pendant la journée. La nuit sera courte.

Quelle belle journée !

Des journées de ce style, il va falloir en cumuler un bon nombre pour être certain d’arriver à faire un burn out.

Le week-end, son épouse Sylvie s’occupe des enfants pour lui permettre de continuer à travailler, toujours plus. Pas trop de sport ou de sorties entre amis, il préfère prendre un peu d’avance dans ses dossiers.

Certains jours, Sylvie lui demande comment il arrive à gérer autant de choses en parallèle.

D’autres jours, elle lui fait remarquer qu’il travaille trop, alors il s’énerve, nie et lui répond qu’elle n’a aucun sens des vraies priorités.

Il s’irrite de plus en plus et commence à avoir peur de mal faire. Au travail aussi, son humeur a changé. Il a peur d’être rejeté et multiplie ses efforts. Mais progressivement, son travail si passionnant il y a peu commence à l’ennuyer. Il trouve son job vide de sens. Il se sent fatigué… épuisé. Il n’arrive plus à faire face.

Et là : Bingo ! Burn out ! Paul a réussi à bien se vider de toute son énergie.

La clé du “succès” de Paul, c’est d’avoir bien laissé branché son “déconomètre”.

Son “déco-quoi ?” me direz-vous ? Son déconomètre, l’appareil (imaginaire) servant à mesurer le degré de folie (j’ai remplacé le bon terme par un autre plus politiquement correct).

« La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent. »
Albert Einstein

Pour la Haute Autorité de Santé (HAS), le burn out est un processus de dégradation du rapport subjectif au travail. Concrètement, face à des situations de stress professionnel chronique, la personne en burn out ne parvient plus à faire face.

Il ne se fait pas en deux jours. Il est le fruit d’un processus lent et progressif. Si insidieux que lorsque l’on s’en rend vraiment compte, il est souvent déjà tard… voire trop tard.

Quels sont les meilleurs candidats au burn out ?

Sommes-nous tous égaux pour « réussir » notre burn out ?

Bonne nouvelle : tout le monde peut y arriver. Cela dit, pour être tout à fait honnête, les femmes ont un petit peu plus de chances d’y arriver. Selon les études, les femmes sont 2 à 3 fois plus touchées par le burn out (Source : portait robot des personnes exposées au burn out, du cabinet Technologia).

Pas de zones géographiques de prédilection. Quel que soit votre lieu de résidence en France, vos chances de succès seront les mêmes.

Il n’y a pas non plus de métiers de prédilection. Même si au départ il était plutôt observé dans les professions médicales, le burn out concerne maintenant tout le monde.

Malheureusement il y a un paramètre qui ne vous appartient pas.

Et oui, pas de chance, le burn out ne tient pas qu’à vous et à vous seul… il faut un environnement favorable, un “terreau propice” pour qu’il se développe.

“Quel environnement ? », me demanderez-vous.

Une organisation de votre entreprise et un management bien particulier ! Pour en savoir plus sur cet aspect, je vous invite à réécouter l’interview de Benoît Coux dans mon article “Harcèlement : comment le prévenir ?”, vous y trouverez des points communs entre les conditions de développement d’un burn out et d’un harcèlement.

Comment savoir si vous êtes en bonne voie ?

Rien de plus simple, vous pouvez le vérifier sur internet.

Plusieurs tests sont à votre disposition :

Le Maslach Burnout Inventory

Mis au point par Maslach & Jackson en 1981, le Maslach Burnout Inventory (MBI)5 est le questionnaire scientifiquement validé le plus utilisé aujourd’hui.

Le Copenhagen Burnout Inventory

Le CBI explore quant à lui trois dimensions du burn out : l’épuisement personnel, l’épuisement professionnel et l’épuisement relationnel.

Résumons-nous : comment détecter un burn out ?

Le burn out se caractérise par trois dimensions, selon la définition de l’OMS :

un sentiment de fatigue intense et d’épuisement,
des sentiments négatifs ou cyniques liés au travail,
une efficacité professionnelle réduite.

Selon l’Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles (INRS), pour détecter un burn out au niveau individuel, l’employeur, l’encadrement, les acteurs de la prévention au sein de l’entreprise, doivent être vigilants à un ensemble de signaux :

Le salarié se plaint-il de manquer d’énergie pour accomplir son travail ?
Fait-il part de problèmes de concentration, de manque de disponibilité mentale au travail ?
Est-il facilement irritable ?
Dévalorise-t-il le travail qu’il accomplit, sa propre efficacité et ses compétences ?
Manifeste-t-il des signes de désinvestissement professionnel ?

Un changement dans l’attitude du salarié, un repli sur soi, un désengagement inhabituel sont autant de signaux qui doivent interpeller l’entourage professionnel.

L’un de vos proches est concerné ?

Si l’un de vos proches est sur la mauvaise pente, en direction d’un possible burn out, prenez les devants et abordez le sujet franchement. Il n’aura bien souvent pas conscience qu’il a dépassé ses limites.

La tâche est délicate, certes, mais l’enjeu est important.

Pour vous donner une image un peu guerrière, il vaut mieux désamorcer une grenade avant qu’elle n’explose.

Lors de cette étape de burn in, qui précède le burn out, votre proche se consume de l’intérieur sans même s’en rendre compte.

Essayez de dialoguer avec lui, il ne sera peut-être pas sourd à toutes vos remarques.

Si aujourd’hui vous vous sentez épuisé par votre travail et, contrairement à Paul, voulez éviter de faire un burn-out… Parlons-en ensemble.

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By Adaptis CoachingBurn out, Harcèlement, Motivation, QVT, Stress04/12/202029/01/2024